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INDUCATION SCOLAIRE (IRRESPECT SCOLAIRE)

L’humiliation «sous-couvert» de blagues aux élèves par les profs

 

La Culture des blagues humiliantes des profs:

Répéter pendant des années les mêmes cours aux élèves finit par rendre la vie du prof monotone. Certains profs ont "besoin" pour "redynamiser" leurs journées qui se répète encore et encore de se défouler sur des élèves en difficulté pour se donner un semblant de motivation. Malheureusement, cela déborde très souvent sur des humiliations, sur du harcèlement qui plus est soutenu par l'ensemble de la classe du fait qu'ils rigolent à chaque fois que le prof adresse ses blagues humiliantes à sa proie d'élève. Certains profs, qui ont pour habitude de crier sur un élève en difficulté, n'hésitent pas à utiliser la violence physique. Dans un établissement scolaire, "Tout" se sait et pourtant rien n'est fait pour porter assistance à l'enfant qui subit ces violences.

Beaucoup d'élèves sont humiliés tous les jours par des professeurs dans tous les collèges et les lycées, par des maîtres dans toutes les écoles primaires, voire dans les universités et même dans les centres de formation divers. Tous les jours les élèves sont humiliés, voire harcelés par des profs dans tous les établissements scolaires. L’humiliation d’un élève en difficulté «sous-couvert de blagues» est courante, c’est une «culture» même. Le but est de «jeter en pâture» l’élève en difficulté à toute la classe, pour que tous les élèves en rigolent. L’humiliation découle du harcèlement. Bien souvent, ce sont les élèves en difficulté qui sont humiliés, voire harcelés par les profs. Quand un élève est en difficulté, c’est qu’il a des soucis. Depuis l’école primaire, beaucoup d’enfants doivent «survivre» seuls aux «programmes scolaires», car la famille ne leur donne aucun soutien pour diverses raisons. On fait passer à la classe supérieure des élèves qui ont beaucoup de lacunes et on les mélange avec des élèves qui sont au top. Et on privilégie ceux qui sont à l’aise et on délaisse ceux qui sont en difficulté. Quand un élève a des soucis, il faut remonter l’information en amont, car s'il a des soucis en classe c'est qu'il a aussi des soucis au sein de sa famille, ou au sein de sa vie scolaire ou intra scolaire. Il serait intelligent pour les professeurs d'aider ses enfants en difficulté au lieu de se moquer d'eux. Un prof qui humilie un enfant n'a pas sa place dans l'éducation scolaire. Un prof qui humilie un enfant est un lâche car c'est facile de profiter sur plus petit que soi.  Un enfant ne peut pas se défendre et en plus il doit se taire et obéir, car il doit se soumettre au règlement intérieur scolaire. Les profs qui humilient les enfants ont tendance à oublier que cela ne fait pas partie du «cahier des charges de l'école». Un enfant qui est humilié par un prof, que ce soit sous forme de blagues ou que ce soit violemment, doit le faire savoir à ses parents. Les parents qui ont un enfant qui se fait humilier ou harceler par un prof ne doivent pas laisser faire. Les profs qui ne respectent pas les enfants doivent se former au «Comportement 100% Respect», ainsi ils pourront mieux comprendre leurs faiblesses d’égo afin de les éradiquer.


Extrait du livre: PSYCHOLOGY OF INDUCATION, l'univers carcéral scolaire, de l'auteur Jean Eric HOAREAU (en vente sur tous les sites amazon)

Lorsque je fréquentais les classes de maternelle, il était agréable le petit coin qui était aménagé pour que l’on puisse faire une petite sieste en début d’aprèm. Certes, beaucoup d’élèves fermaient les yeux sans pour autant dormir. J’en faisais partie. Une chose est sûre, le silence prenait l’espace, et toute la classe s’y soumettait avec le sourire. Ce petit coin était très restreint, et on était carrément les uns sur les autres…

Dormir dans ces conditions, ce n’était pas facile. Mais la «petite pause-récup» n’était pas désagréable. Durant cette pause, la maîtresse nous lisait une histoire, et même si on résistait au petit sommeil, on se laissait transporter au son de sa voix. Lorsque j’évoluais dans une classe supérieure à l’école primaire, j’avais la chance de toujours avoir des maîtres gentils et patients, qui avaient réellement la passion du métier. Ils nous faisaient toujours des remarques lorsque l’on «dérayait» un peu par rapport aux cours, concernant les exercices, et par rapport à notre Comportement qui déstabilisait la classe. Mais ce n’était jamais méchant. Il n’y avait pas de «torture», ni «d’abus», ni de «cris». Il arrivait que notre maître soit absent durant quelques jours, et de ce fait on était dispatchés avec d’autres maîtres, et là on pouvait voir la chance que l’on avait, car la différence pédagogique était très «palpable». En CM1, je me souviens d’un maître, Monsieur «Fontaine». Il avait une méthode d’apprentissage très persuasive, et très coriace…

-Il donnait des coups sur les pointes des doigts des élèves avec sa grande règle en bois…

-Il tirait vers le haut sur les oreilles des élèves…

-Il tirait vers le haut sur les cheveux près des oreilles…

-Il mettait les élèves en punition au coin de la classe pendant des heures. (Jusqu’à ce que la sonnerie de la prochaine récré retentisse)…

Le fameux bonnet d’âne, à côté c’était de la rigolade. Avec du recul, la question que je me pose aujourd’hui, est la suivante: Pourquoi l’Éducation Nationale laissait faire ce genre de pratiques barbares et lâches? C’est à croire que le maître avait le droit d’utiliser tous les moyens pour obliger les enfants à apprendre, «de gré ou de force». Pendant les quelques jours où l’on devait suivre les cours dans sa classe, on a eu droit aussi à sa «méthode pédagogique spéciale», qui oscille entre «Torture», «Humiliation» et «Punition», devant toute la classe. Heureusement que l’on ne faisait que passer. Par contre, pour ceux qui l’avaient durant toute l’année scolaire, avec le recul, j’imagine le traumatisme. Par la suite, j’ai eu l’occasion de retrouver quelques élèves de ce prof, devenus adultes, ils sont devenus alcooliques, ils traînent devant les bars. «Dany», l’élève qui était le plus puni à l’époque, m’avait même confié, il y a quelques temps, qu’il avait mis un couteau dans son sac, car il n’en pouvait plus. Heureusement qu’il n’avait pas été jusqu’au bout de ses intentions. Pendant les années collèges, il y avait un professeur de sport, Monsieur «Jean», qui venait de la contrée de la France. Il était très brutal envers un ami «Teddy». «Teddy» était toujours souriant et jovial, alors que sa vie n’était pas facile. Le simple fait que «Teddy» souriait avait le don d’agacer le prof, qui ne manquait pas de le lui faire remarquer. «Teddy» vivait sous le seuil de pauvreté avec beaucoup de frères et de sœurs. Le prof n’hésitait pas à lui donner des gifles, lorsque celui-ci faisait des blagues pour faire rigoler toute la classe quand on était en activité sportive. C’était le seul qui prenait des coups, est-ce que parce qu’il était noir de peau ? J’ai entendu dire par la suite que le prof avait été radié auprès de l’Éducation nationale parce qu’il avait eu des relations avec des fillettes du collège. C’était d’ailleurs aussi pour ça que sa femme et sa fille l’avaient quitté. Durant mon parcours universitaire, j’ai pu voir combien les profs sont très arrogants, et moqueurs. En section Master, un certain prof, Monsieur «Lucas», prenait un malin plaisir à «casser» les étudiants qui étaient un peu trop expressifs, à vouloir trop répondre à ses questions. Lorsqu’un étudiant levait la main pour répondre à une question, si sa réponse était mauvaise, c’était sûr et certain que celui-ci allait se faire humilier par le prof. Il y avait aussi d’autres profs, comme un certain Monsieur «Mari...», qui prenait plaisir à humilier les élèves, qu’ils répondent ou non aux questions. Il ne s’arrêtait pas là, puisqu’il trouvait même à redire sur la population, à qui il reprochait d’être paresseux et inertes, sans compter «Tout» le reste…


Je me suis rendu compte que «l’Inducation» (une éducation irrespect) est bien ancrée dans le système éducatif, et ça depuis très longtemps. Malheureusement, cela ne s’arrête pas à l’égo-Comportement de certains profs, elle se présente aussi sous d’autres formes…

Pour l’exemple qui suit, cela relève du pistonnage d’étudiant: Ce qui m’avait surtout marqué à l’université, c’est combien les laboratoires font «Tout» pour avantager leur propre étudiant, de leur université, qui ont effectué dans leur section le cursus Licence, Master et Doctorat, le fameux cursus (L.M.D). Les étudiants qui «débarquent d’ailleurs» pour finaliser ce cursus par le doctorat, sont «éliminés psychologiquement», à petit feu. On leur demande d’abandonner, pour X raison, on les décourage. C’est ce que j’ai pu vivre lorsque je m’étais présenté pour défendre mon sujet de thèse. Certains profs insistaient pour que j’abandonne, par mails et par texto, jusqu’au jour où je me suis présenté devant le jury. J’ai utilisé le temps de parole qui m’était imparti pour dénoncer ces magouilles devant l’équipe de jury qui décide de valider ou pas le passage d’un étudiant en doctorat. Certains qui ont découvert cette situation sont restés stupéfaits, tandis que d’autres essayaient de se défendre. Après mon discours sur les «dessous de leur université», des membres du jury m’ont même demandé de disposer des 3 minutes qu’il me restait pour présenter mon sujet, ce que j’ai fait, sachant que mon cas était déjà réglé. J’ai eu l’occasion de discuter avec l’étudiante qui me précédait ce jour-là pour l’oral. Elle devait aussi se présenter devant la haute instance de l’université. Elle arrivait du Canada. Au fil de ses paroles, j’ai pu me rendre compte qu’elle aussi avait reçu des conseils de la prof de son labo pour la décourager et l’inciter à abandonner. Elle était surprise que cela se passe ainsi. Voilà donc quelques exemples «d’Inducation» (l'irrespect scolaire) que j’ai pu rencontrer durant mon parcours scolaire. C’est à croire que le «Concept de l’Inducation» (l'irrespect scolaire) fait partie intégrante du cursus scolaire dans son intégralité. Ce que j’ai compris durant tout mon parcours scolaire, c’est que l’élève ou l’étudiant qui veut réussir doit impérativement «se plier à l’égo de ses profs», «les Dieux scolaires»…

-L’obligation d’apprendre: L’Éducation scolaire est centrée uniquement sur ce que l’enfant «Doit» Apprendre, c’est-à-dire sur des programmes scolaires, qui découlent d’un cahier des charges qui «Oblige» l’enfant à suivre pendant un temps une formation continue dite «Obligatoire» (jusqu'à maintenant ça allait de 3 ans jusqu’à 16 ans, maintenant il y a "obligation de formation jusqu'à 18 ans").Pendant 13 ans, l’enfant «Doit» aller à l’école. Ces années d’apprentissage, avec «Tout» ce que cela comporte, enlèvent à l’enfant «Toute» son innocence, et le détruit à petit feu. On a du mal à croire que c’est l’instruction qui est obligatoire et non l’école, vu les sanctions qui sont infligées aux parents si leur enfant ne va pas à l’école. L’univers scolaire ne s’adapte pas à la condition de l’enfant en tant que tel, bien au contraire. Il inflige à l’enfant le «poids de la contrainte et des obligations», «Tout» ce qui découle de la "bêtise humaine", et qui fait de l’espèce humaine ce qu’il en est actuellement. «L’Eden Scolaire» s’est transformé en «univers Carcéral Scolaire», et aussi en «abattoir» dans certains établissements. Maintenant, les armes à feux qui découlent de la bêtise des adultes ont fait leur entrée dans les établissements scolaires. L’enfant est maintenant enfermé comme dans une prison, soi-disant pour être en sécurité. En sécurité de qui? En sécurité de quoi? L’enfant se fait tirer dessus comme du gibier par d’autres élèves. Derrière ces «barreaux scolaires», l’enfant subit «Tout» ce qui découle du «Concept de l’Inducation» (l'irrespect scolaire). Malgré cela, l’enfant «Doit» quand même «Apprendre» et «Réussir». Le «Concept de la Peur» est très utilisé pour faire fléchir l’enfant, qui «ne doit pas» se plaindre. Ce concept, qui est lié au «Concept d’Abusition», est aussi utilisé aussi bien par les parents que par des profs, dits lâches. L’enfant, dès son plus jeune âge, est partagé entre:

-la pression des parents, et les menaces qui vont avec (punitions, cris, châtiments corporels)…

-la pression des profs, et «Tout» ce qui va avec s’il n’apprend pas, (humiliation, punitions, cris, insulte détournée, etc…) Il doit «s’adapter» et «survivre» par rapport à «Tout» ce qui compose l’univers scolaire…

-des copains violents et très vulgaires…

-l’apprentissage des bêtises à la récré, sans compter «Toutes» les atrocités que l’enfant subit dans sa «prison scolaire», (viol, harcèlement, etc.). L’équipe pédagogique qui est responsable de l’éducation des enfants durant les moments les plus importants de leurs vies devraient être formée a Comportements à «0% d’égo» ,cela éviterait bien des dérives et bien des abus de pouvoirs sur les enfants…

La formation de ses professeurs ne doit pas se limiter à apprendre des connaissances pour les ressortir aux enfants…


UNE ÉDUCATION IRRESPECT 

Ce que j’ai défini comme étant le «Concept de l’Inducation» (l'irrespect scolaire) englobe «Tout» ce qui nuit à l’enfant dans le domaine de l’éducation, ce qui représente:

1. L’éducation scolaire, dans l’établissement: surcharge de travail, mauvais comportement des profs (irrespect et humiliation des élèves, violence physique et verbale), mauvais comportement des élèves, harcèlement, discrimination, violence physique et verbale, etc...

2. L’éducation parentale, à la maison: rejet, incommunication, violence physique et verbale des parents, inceste, humiliation, maltraitance, etc...

1. L’éducation proprement dite, que ça soit à l’école, au collège et au lycée, ne se limite pas aux cours, en classe…

Celle-ci «comprend aussi les moments de récréation», où les enfants, les collégiens et les lycéens sont toujours «dans l’établissement scolaire» et donc «toujours sous la responsabilité de l’établissement»…


-Il y a «Inducation en classe» (l'irrespect scolaire) lorsque ces enfants, qui sont en cours, sont soumis à:

-des classes avec des effectifs surchargés,

-des classes où les cours ont une cadence qui ne tient pas compte du niveau réel des enfants,

-des classes où la maîtresse, le professeur ne peut pas être totalement disponible pour chaque enfant,

-des classes où il y a l’impatience de certains maîtres, de certaines maîtresses, de certains professeurs,

-des classes où la violence verbale est pratiquée par certains maîtres, par certaines maîtresses, par certains professeurs,

-des classes où la violence physique est pratiquée par certains maîtres, par certaines maîtresses, par certains professeurs,

-des classes où il y a discrimination envers certains élèves,

-des classes où il y du favoritisme envers certains élèves,

-des classes avec des programmes surchargés,

-des classes avec des programmes décalés, etc…

-Il y a «Inducation (l'irrespect scolaire) en dehors de la classe», lorsque ces enfants qui sont à la récré, dans la cour de l’établissement, sont soumis:

-à des rackets,

-à des harcèlements,

-à une surveillance bâclée,

-à de la pédophilie pratiquée par certains maîtres,

-à des rapports sexuels imposés par certains professeurs avec des élèves, dans des collèges et des lycées, etc…

-Il y a «Inducation extra-scolaire» (l'irrespect familial/scolaire) où l’enfant est "pris en étau", entre «les amis assaillants» de l’école et «sa vie de famille à la maison». Ces soucis poussent malheureusement l’enfant à se replier dans un «silence néfaste»…

L’enfant ne souhaite pas en parler pour éviter de se faire réprimander:

-exemple du harcèlement d’un élève sur le net par d’autres élèves, ce qui nuit directement au bien-être de l’enfant (suicide ou pas)…


2. "L’Inducation familiale" (l'irrespect familial/scolaire) est liée à l’obligation pour l’enfant de réussir, sinon:

-chantage affectif,

-punition violence verbale,

-punition violence physique,

-humiliation, etc…

Très souvent malheureusement, l’enfant «doit impérativement réussir», malgré le fait qu’il subisse:

-des mauvais traitements de la part de ses parents:

-l’inceste,

-abandonné à lui-même dans son état d’enfant (par rapport aux caractéristiques de son âge, par rapport à ses multiples devoirs à faire, par rapport à ses soucis, etc.). L’enfant est seul face à «Tous» ses soucis et à «Toutes» les pressions accumulées depuis l’école primaire, et qui s’intensifient de plus en plus au collège et au lycée. Malgré «Tous» ces désagréments que subissent l’enfant ou l’adolescent, on leur demande quand même de réussir. L’enfant doit porter «Tout» son fardeau qu’on lui impose, «sans se plaindre». L’enfant «ne peut pas s’exprimer», n’a «pas le droit de s’exprimer».

Conséquences:

-8 enfants sur 10 ont du mal à suivre à l’école primaire ainsi qu’au collège…

Impact sur le lycée:

-8 enfants sur 10 ont déjà touché à l’alcool et consomment régulièrement de la drogue…

Malheureusement, les séquelles ne se limitent pas qu’aux résultats scolaires, car l’enfant a «Toute» sa vie qui va être impactée…

EXTRAIT: «Psychology of INDUCATION»


Pas facile d’être un enfant dans le monde des adultes égossiens…


La Convention  Internationale des droits de l'enfant de 1990 précise que la discipline scolaire doit respecter la dignité de l'enfant.

 

Une étude réalisée par le Centre de Recherche en Éducation de Nantes (CREN) auprès d’environ 1 000 élèves (du CE2 à la 4ème) révèle un mal-être bien présent:

13 % des enfants ont peur à l’école ou au collège,

57 % des élèves pensent «trop travailler» et 59 % déclarent avoir «trop de devoirs»,

66 % sont inquiets «d’avoir de mauvaises notes».

L’enquête dévoile également que les élèves se sentent stressés par «la peur des contrôles ou d’être interrogé» par un professeur. C’est la première cause de leur souffrance en classe.

Les professeurs ont leurs exigences propres et les programmes sont bien chargés, mais ce n'est pas une raison pour "détruire" les élèves.


Définition:

«L’Inducation» c’est «Tout» ce qui va à l’encontre de "l’éducation logique et respectueuse" de l'enfant. L'éducation est censée cultivée l'enfant et non le détruire. L'éducation est censée enrichir positivement un enfant et qui est censé être le "socle de base" d’une société dite civilisée. «L’inducation» regroupe «Tout» ce qui découlent de l'irrespect éducatif concernant l'enfant durant son évolution vers l’état adulte dans la vie en générale. Cet apprentissage irrespect qui découle de l'égo-Comportement des adultes est en lié au «Concept de l’Égoïcitude». Les adultes sont très forts pour dire aux enfants «ne fait pas ci, ne fait pas ça»! Alors qu'ils font toujours le contraire.

-Les enfants ne comprennent pas pourquoi on leur demande de bien se Comporter alors que ces mêmes adultes se Comportent mal…

-Les enfants n’ont que ces adultes comme repère, et pourtant ces adultes sont très loin de bien se Comporter. Ils sont même très immature…

-Les enfants finissent par faire les mêmes bêtises que les adultes. Certains enfants se forment eux-mêmes pour ne pas finir comme certains adultes…

"L’apprentissage de l’Inducation" (l'irrespect) peut être effectué par l’intermédiaire:

-de la télé, par rapport aux films violents, aux émissions de divertissements qui ne sont pas trop sains…

-d’internet, où l’enfant a la possibilité d’apprendre «Toutes» formes de bêtises, et où l’enfant a accès à «Tout» et à n’importe quoi…

-sur les bancs de l’école, là où il est censé se former à «l’éducation»:

-c’est «Tout» ce qu’il apprend de négatif…

-c’est «Tout» ce qu’il subit, de par:

- les autres écoliers (harcèlement, racket, violence physique, violence verbale, insulte, humiliation, etc.)

-les maîtres(esses), les profs, dans leur méthode d’enseignements, et dans leur comportement irrespectueux:

-qui porte atteinte à l’enfant...

-qui va à l’encontre de la "déontologie éducative"…

-c’est «Tout» ce qui découle de négatif du monde des adultes et qui malheureusement sert de repère d’apprentissage aux enfants…

En bref, "l'Inducation" c’est «Tout» ce qui va à l’encontre du «Respect» et des «Droits» de l’enfant en tant qu’individu…

Extrait du livre PSYCHOLOGY OF INDUCATION, l’univers carcéral scolaire, disponible sur Amazon…


DIFFÉRENTES FORMES DE VIOLENCE À L'ÉCOLE

 

-Violence entre les élèves:

Cette forme de violence se passe souvent à l'extérieur de l’école, souvent dans des endroits non surveillés. Mais cela peut se passer devant un adulte. Si l'élève agresseur se rend compte que l’adulte ne fait pas respecter son autorité et «ferme les yeux» sur ce qu'il fait, il va continuer.

 

-Violence d’élèves envers les profs:

La violence envers les profs se termine quelquefois par un crime. Comme pour la violence envers d'autres élèves, l’arme utilisée appartient aux parents. 

 

-Violence des profs contre les élèves:

Dans la majorité des cas, c'est une "violence psychologique" (moqueries, humiliation, cynisme, remarques désobligeantes ou dégradantes), etc.

 

-Violence physique:

La violence physique envers les élèves est interdite depuis 1845 en France. Pourtant cela n'empêche pas certains profs de «frapper» des enfants. Les parents cautionnent la violence des profs envers leurs enfants. Mêmes si ces profs sont reconnus coupables, ils sont toujours soutenus par leurs syndicats et leurs supérieurs.

Le deuxième stade, ce sont les coups donnés pendant les interclasses. Cela peut être du racket entre un élève plus grand et un petit qui devient son souffre-douleur ou cela peut être de la "violence gratuite" (besoin de se défouler).

«Pour les violences physiques, concernant des élèves de 8 à 12 ans, plus de 20 % ont déjà été frappés souvent (ou très souvent») tandis que «les vols et le racket concernent plus de 5 % des élèves».

Le harcèlement scolaire est le premier stade de la violence, elle est psychologique. Cela concerne souvent un enfant un peu différent: s'il bégaye, s'il est timide, s'il est trop sage pendant les cours, s'il a une façon différente de s'habiller, s' il a une coiffure différente, ou parce qu'il est d'une minorité culturelle par rapport aux autres élèves de l'établissement.

 

-Sexuellement:

Les agressions d’ordre sexuel: plus de 25 % des élèves confient qu’ils ont fait l’objet de voyeurisme aux toilettes, plus de 20 % ont été forcés de se déshabiller et plus de 30 % contraints d'embrasser un autre enfant. Les victimes sont aussi bien des garçons que des filles.

 

-Internet:

Internet est devenu l'outil le plus utilisé par les harceleurs. Maintenant des élèves règlent leurs comptes sur le net.

 

-Les causes:

Les causes de la violence en milieu scolaire:

-Manque de formation de l'ensemble des acteurs du système (incapacité de l'équipe pédagogique de tenir compte des dimensions du système éducatif et absence de qualification dans la gestion de "Tout" ce qui découle de l’enseignement. Les établissements concernés par la violence sont ceux où les élèves ont une vision très négative des enseignants (certains élèves accusent les profs de «fermer les yeux»). La violence est aussi présente dans  les établissements où il existe une mauvaise relation entre les profs et la direction.

 

-Les causes de la violence en milieu scolaire liées à l’élève:

Cette violence vient du mauvais Comportement des élèves, ce qui trouble le bon déroulement des cours. On pointe du doigt l'irrespect des élèves, le mépris envers la différence, le besoin de se défouler car ils ont une vie difficile ou ils se sentent "méprisés".

 

-Les causes de la violence en milieu scolaire liées à la famille et à la société:

Cette violence vient de la situation précaire de la famille, de la société de consommation inaccessible et la banalisation de la violence par la télévision, le cinéma, les livres. Les quartiers difficiles et défavorisés s'expriment par la violence car ils se disent que la communication verbale n'est pas comprise.

 

-Les conséquences:

Les élèves exposés à la violence scolaire vivent des conséquences au niveau: psychologique, comportemental, physique et cognitif. Voici les principales conséquences associées à chacun de ces niveaux:

 

-Quelques exemples de conséquences psychologiques:

L'élève est souvent anxieux.

L'élève est souvent colérique et irrité.

L'élève est souvent dans la confusion.

L'élève est souvent craintif. Il a peur. Il est pessimiste. Il a peur d’être violenté. Il a peur d'être abandonné, etc.

L'élève est souvent triste.

L'élève est souvent inquiet pour "Tout".

L'élève est souvent en dépression, avec des idées suicidaires.

L'élève doute de lui.

L'élève a subi le syndrome de stress post-traumatique, etc.

 

-Conséquences physiques:

L'enfant a un retard de croissance.

L'enfant fait pipi au lit.

L'enfant a de l'eczéma et des démangeaisons.

L'enfant perd du poids.

l'enfant a des maux de ventre, des maux de tête, etc.

L'enfant a des perturbations alimentaires.

L'enfant a des troubles du sommeil.

L'enfant fait souvent des cauchemars.

L'enfant a souvent des fatigues chroniques, etc.

 

-Conséquences comportementales:

L'enfant a des gémissements, des crises de colère et pleure fréquemment.

L'enfant demande plus d'affection de sa maman.

L'enfant demande plus d’attention.

L'enfant est toujours en retrait, s'isole, participe très peu.

L'enfant a des Comportements contradictoires.

L'enfant est en hyperactivité.

L'enfant a des comportements antisociaux (vandalisme, vol, cruauté envers les Animaux, etc.)

L'enfant a une déficience des habiletés sociales, de communication et de résolution de problèmes.

L'enfant est dans une violence physique et verbale à l’égard des adultes.

L'enfant est dans un isolement social.

L'enfant commence à avoir des problème de consommation d’alcool ou de drogues.

L'enfant fugue souvent.

L'enfant tombe dans la prostitution, dans la délinquance, et se suicide même, etc.

 

-Conséquences cognitives et/ ou scolaires:

L'enfant a une déficience des habiletés verbales, intellectuelles et motrices.

L'enfant a des problèmes d’apprentissage.

L'enfant a des difficultés d’attention et/ou de concentration.

L'enfant ne fait pas ses devoirs.

L'enfant a  des retards sans motif et des absences scolaires.

L'enfant a de mauvais résultats scolaires.

L'enfant abandonne sa scolarité, etc.

 

LA SOLUTION: LE COMPORTEMENT DANS LES PROGRAMMES SCOLAIRES

L'ÉCOLE NO-EGO: L'élève doit être "Respecté à 100%" par l'école et "Tout" ce qui en découle...


-Ecole et "Comportement 100% Respect":

Il est impératif de mettre en place des "U.F de Formation" liées au «Concept no-ego» (100% Respect) dans les programmes scolaires depuis les premiers pas de l’enfant à l’école jusqu’aux diverses formations pour adultes, dont l’activité professionnelle débouche sur des interactions avec autrui. L'article est dans la rubrique «Projet de Loi». C’est l’aboutissement de toutes ces années de travail, d’étude et de recherche sur les lacunes du Comportement humain. Les outils élaborés pourront ainsi profiter à tous. L’objectif étant de permettre d’éradiquer «l’élasticité primitive» à la base, source de toute la dérive humaine, car lorsqu’un individu bascule dans le mauvais Comportement il y a des répercussions sur des milliers de personnes. Une société dite civilisée se doit de l’être réellement dans le Comportement de chacun. Ces projets de lois seront portés jusqu’au niveau des instances européennes s’il le faut, et des instances françaises. Et s’il faut passer par la politique pour y arriver, on n’hésitera pas. Pour faire valoir le «Comportement no-ego», on va aussi participer à des manifestations sportives avec des individus qui soutiennent le «Comportement no-ego». Le «Comportement no-ego» doit devenir une évidence, tout comme l’hygiène…


L’importance de l'apprentissage du Comportement no-ego à l'école:

Pour éradiquer son égo, c’est-à-dire se libérer du «Karma», l’individu humain doit impérativement travailler son "Comportement" au jour le jour. Pour que la société soit sécurisée et protège à 100% les enfants et les citoyens "l'apprentissage du 100% Respect" doit être obligatoire dans tous les programmes scolaires.

C’est le travail de "Toute" une vie. Tout comme pour la conduite automobile, c’est au fil du temps qu’il finira par bien s'adapter à la conduite, à l'automobile, ainsi qu' à la route...

L’importance de l'apprentissage du «Palier du 0% d’égo» à l'école:

Une éducation dans le domaine du "100% Respect" permet de protéger les élèves:

contre le Harcèlement scolaire,

contre les rackets,

contre les violences physiques,

contre les violences verbales.

Tant qu’un individu humain ne travaille pas son "Comportement" pour atteindre le «Palier du 0% d’égo», il est considéré «Illusion» (en contradiction), devant les «Lois de la Vie», du fait qu’il soit "sous Karma". De ce fait, il se fait flasher en permanence car il n'est pas "conforme" au "code de fonctionnement" de l'Univers qui est "100% Respect". C’est à l’image des banques et leur principe de fonctionnement concernant les mauvais clients qui ont toujours des soucis avec leur compte (ceux qui sont en interdit bancaire, ceux qui sont à découvert en permanence, etc.). Les «Lois de la Vie» classent «Tout» ce qui découle de l’égo comme étant «insolvable»…


ASSIS TOUTE LA JOURNÉE: LES EFFETS SUR LA SANTÉ


De nombreuses personnes sont souvent assises devant un écran d'ordinateur, c'est à la mode. Mais cela entraîne de sérieux problèmes de santé.

Quels sont les moyens pour éviter de détériorer votre qualité de vie, après quelques années de position assise ?
Au réveil, on s'assoit devant la table pour prendre le premier repas de la journée. Ensuite, on s'installe dans son véhicule, ou dans le transport en commun (assis, s'il y a de la place), pour aller travailler.
Après une journée assise (même à l'heure du repas), les gens reviennent à la maison pour prendre le repas du soir (toujours assis), pour s'assoir ensuite devant la télé, toujours en position assise. Avant de dormir, certains s'assoient dans leur lit pour lire, avant de dormir.
Beaucoup de gens sont assis plus de douze heures par jour, c'est ce qui découle du "syndrome de patate de canapé". 
Pour l'être humain, la position assise n'est pas naturelle, c'est une mauvaise habitude. Ce mode de vie sédentaire, adopté par de plus en plus d'individus, est néfaste pour la santé. Assis = danger.

La position assise entraîne de nombreux problèmes de santé. Parmi les plus courants, on a:

-des douleurs fréquentes, voire des maladies arthritiques (en raison du manque de flexibilité) ;

-des maladies inflammatoires, dont la polyarthrite rhumatoïde ; une mauvaise circulation sanguine. (Outre l'apparition de varices, le ralentissement du cœur prive les muscles de l'oxygène nécessaire à leur bon fonctionnement) ;

-des maladies du cœur (notamment en raison de la hausse du taux de mauvais cholestérol dans le sang).

Une étude démontre d'ailleurs que les personnes assises plus de 23 heures par semaine ont 64 % plus de risques de mourir d'une maladie cardiaque ;

-une augmentation du poids corporel (le risque s'élève à 125 %). (Après 90 minutes, le métabolisme ralentit et le taux de lipides sanguins s'élève). Il est responsable de l'augmentation de la masse corporelle (de l'obésité) ;

-l'affaiblissement des muscles, en raison du manque d'exercice ;

-une mauvaise posture entraîne généralement des douleurs au cou et aux épaules. (Les maux de dos peuvent persister) ;

-une déformation des étages corporels, notamment des blessures aux poignets chez ceux qui utilisent des ordinateurs et des blessures au cou pour ceux qui gardent la tête constamment penchée ;

-une perte de 1 % de la masse osseuse (principalement chez les femmes) ;

-un risque de développer du diabète. (Ce risque double chez les personnes qui demeurent en position assise) ;

-une augmentation de 30 % de l'incidence de cancer de la prostate, du colon ou du sein (chez les personnes assises plus de six heures par jour, après 10 ou 20 ans de ce régime).

 

Pour éviter d'avoir des problèmes:

La position assise comporte des dangers, aussi bien pour la santé que pour le bien-être corporel. Il existe des moyens très simples pour éviter d'avoir mal. Voici quelques solutions:

-faire de l'exercice : les médecins recommandent plus de 30 minutes de marche par jour, ne serait-ce que pour réduire la pression sanguine et le taux de cholestérol ;

-vous lever régulièrement pour marcher un peu et vous secouer ;

-effectuer une petite marche de cinq minutes, toutes les heures ;

-rester debout dans les transports en commun ;

-utiliser le vélo pour aller au travail et revenir à la maison ;

-stationner votre véhicule à 30 minutes de marche du bureau ;

-étendre vos jambes 2 à 3 fois par jour ;

-se déplacer pour voir vos collègues au lieu de leur envoyer un mail ou un texto ;

-privilégier les escaliers aux ascenseurs ;

-aménager votre poste de travail pour le rendre le plus ergonomique possible (chaise, bureau, écran d'ordinateur, établi). Pour avoir la possibilité de  changer souvent de position.


Bougez ! Bougez ! C'est très important... Travailler assis, utiliser l'automobile et se retrouver sur le canapé, le soir, pour regarder la télé sont néfastes pour la santé. Maintenant vous connaissez les risques. Prenez soin de votre santé.

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